La Fondation Entrée en Scène présente son rapport d'activité 2022-2023

 La Fondation Entrée en Scène accompagne les étudiants de l’École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre – ENSATT, tout au long de leur cursus universitaire et pendant leur insertion professionnelle, jusqu’à 3 ans après leurs diplômes.

Chiffre clés :

• 86 540€ de levés de fonds
• 5 donateurs privés en 2022
• 3 donateurs privés en 2023
• 54 dons individuels en 2023
• 11 créations artistiques soutenus
• 2 soutiens à l astructuration de collectifs
• 9 bourses allouées
• 54 bénéficiaires en 2023

Enjeux :

« Agir pour l’égalité des chances »
Faire face à la précarité́ grandissante des étudiants en distribuant des bourses d’études à celles et ceux en situation de grande précarité́. Les bourses s’élèvent de 2 000 jusqu’à à 3 000 euros par an.

« Accompagner l’insertion professionnelle et l’entrepreneuriat »
Être un incubateur de talents en accompagnant l’insertion professionnelle des jeunes diplômés de l’ENSATT et leurs activités d’entrepreneurs artistique

Découvrez deux projets lauréats :

2022 :
La Chloka :
La Chloka est un atelier de costumières et scénographes qui s’est installé dans le quartier Pic à Bron pour participer à la redynamisation du quartier, à travers la découverte de leur métier et de différents ateliers incluant la population. Lors de la fête du quartier, le 3 juin dernier, La Chloka a créé un castelet avec des marionnettes pour présenter un spectacle aux habitants et leur apprendre son utilisation.
Cela a permis d’ouvrir le loyer de l’atelier pour un an. Les quatre membres du collectif ont aussi bénéficié du soutien de l’ENSATT sur différents prêts de costumes pour les créations sur lesquelles elles étaient impliquées.

2023 :
La grande panique :
« En travaillant sur le Mariage de Figaro, je veux continuer à interroger le désir comme lieu de rapport de force entre classes sociales. L’histoire raconte la volonté d’un aristocrate de restaurer le droit de cuissage pour abuser sexuellement d’une jeune domestique. Rendre compte des enjeux de l’intrigue, sans les édulcorer (sous le prétexte qu’il s’agirait d’une comédie), c’est poursuivre l’étude et la représentation de deux violences, une violence de classe et une violence de genre ».

Découvrez le rapport d’activité